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Comment structurer un bon suivi d’alternance ?
16/06/2025

Comment structurer un bon suivi d’alternance ?

Introduction


L’alternance est une formidable opportunité pour les étudiants comme pour les entreprises. En combinant enseignement théorique et mise en pratique sur le terrain, elle permet à l’alternant de développer ses compétences tout en construisant progressivement son identité professionnelle. Mais cette promesse ne tient que si le cadre de l’alternance est bien structuré. Un bon suivi, à la fois pédagogique et professionnel, est indispensable pour sécuriser le parcours de l’alternant et maximiser les bénéfices de ce format hybride. Alors, comment mettre en place un accompagnement efficace, cohérent et fluide entre le centre de formation (CFA), l’entreprise et l’alternant ? Voici les clés pour y parvenir.

Pourquoi un bon suivi est-il essentiel ?


Un accompagnement structuré permet avant tout de donner du sens au parcours de l’alternant. En clarifiant les objectifs pédagogiques et professionnels dès le départ, on l’aide à comprendre ce qui est attendu de lui, et à se projeter dans son évolution. Le suivi régulier permet également de mesurer la montée en compétences de manière progressive, d’ajuster les missions si besoin, et d’éviter toute dérive ou démotivation. Il facilite aussi la communication entre l’entreprise et le CFA, deux acteurs qui doivent avancer main dans la main. Enfin, il valorise le rôle central du tuteur et du formateur, véritables repères pour l’alternant.

Sans ce cadre structuré, l’alternant peut rapidement se sentir perdu, isolé, voire en échec. Et souvent, quand les difficultés sont identifiées, il est déjà trop tard pour agir efficacement. D’où l’importance de mettre en place un suivi dès le début du contrat.

Les cinq piliers d’un suivi d’alternance réussi


1. Un livret d’apprentissage clair et partagé

Le livret d’apprentissage est un outil fondamental. Il formalise les missions, les compétences visées et les objectifs à atteindre. Pour qu’il soit vraiment utile, il doit être accessible à toutes les parties prenantes : l’alternant, le tuteur en entreprise et le référent du CFA. Le format numérique est largement recommandé, car il permet une mise à jour en temps réel et une meilleure réactivité face aux évolutions du parcours.

2. Des points de suivi réguliers

Un bon suivi passe par des rendez-vous réguliers. Il est conseillé de prévoir au moins un point par mois entre le tuteur et l’alternant, pour faire le point sur les missions en cours, les réussites, les éventuelles difficultés et les perspectives à venir. En parallèle, des entretiens semestriels avec le CFA permettent de croiser les regards entre entreprise et formation. Ces points doivent faire l’objet de comptes rendus écrits, qui serviront de base pour les bilans finaux.

3. Une grille de compétences alignée sur le diplôme visé

Pour que l’alternant sache où il en est, il est indispensable de travailler avec une grille de compétences en lien direct avec le référentiel RNCP du diplôme préparé. Cela permet une évaluation progressive, mission après mission, plutôt que d’attendre la fin du contrat pour constater les acquis. C’est aussi un excellent outil pour construire un retour objectif et motivant.

4. Un outil de suivi partagé

Centraliser les informations est un gain de temps précieux pour tous. Un outil numérique de suivi permet de regrouper les missions, les validations de compétences, les documents administratifs et les échanges entre parties. C’est un véritable tableau de bord du parcours de l’alternant. Par exemple, Studea propose une plateforme claire et intuitive, pensée pour faciliter le quotidien des tuteurs, des écoles et des alternants eux-mêmes.

5. Une valorisation du parcours

Le suivi ne doit pas se limiter à un contrôle administratif. Il doit aussi mettre en valeur le chemin parcouru par l’alternant. La création d’un portfolio de compétences, l’élaboration d’un rapport de missions, ou encore les retours réguliers du tuteur et du formateur permettent à l’alternant de prendre conscience de ses progrès, et de mieux se projeter dans l’avenir.

Les erreurs fréquentes à éviter


Certaines erreurs peuvent nuire fortement à l’efficacité du suivi. La première est de ne pas définir d’objectifs concrets : sans cadre clair, l’alternant ne sait pas ce qu’on attend de lui. La deuxième est de déléguer entièrement le suivi au CFA : l’entreprise a un rôle central à jouer dans la montée en compétences. Enfin, attendre la fin du contrat pour faire un point d’évaluation est souvent trop tardif : il devient alors difficile de corriger le tir ou de valoriser pleinement les apprentissages.

Quel outil utiliser pour structurer le suivi ?


Chez STUDEA, nous sommes convaincus qu’un bon outil de suivi change tout dans l’accompagnement d’un alternant. C’est pourquoi nous avons conçu une solution complète qui centralise les informations, facilite la planification des entretiens, automatise les évaluations et fluidifie la communication entre tous les acteurs de l’alternance. Notre objectif : simplifier le quotidien des tuteurs et garantir la qualité des bilans finaux. STUDEA, c’est un outil concret, pour une alternance qui l’est tout autant.

Un bon suivi d’alternance ne s’improvise pas. Il repose sur une méthode rigoureuse, des échanges réguliers et une utilisation intelligente des outils numériques. Pour l’alternant, c’est la garantie d’un parcours enrichissant et valorisant. Pour les tuteurs et les formateurs, c’est l’assurance de pouvoir accompagner au mieux, dans une logique de progression continue. Structurer le suivi, c’est faire de l’alternance une véritable réussite pour tous.


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